La vieille dame d'Iwa

Par cette froide matinée d'automne, je prenais la route vers le bureau de mon paternel à la recherche de missions excitante, il faut dire que depuis notre aventure au village caché des churros à moi et à Shikaku, je n'avais que des missions trop peu risquées, j’espérais que cela changerait et que mon père m'attribut une mission folle mais une nouvelle fois je serais déçu. Une fois devant son bureau, je toquais et entrais, je lui faisais part de ma quête de mission, il esquissait un sourire et me tendait un ordre de mission.

Citation :

Bonjour Maître Tsuchikage.

Je vous laisse ce mot afin de vous avertir que je ne pourrais m'occuper de la doyenne du village Madame Nyuzami, elle sort de l'Hopital tout à l'heure, et comme elle ne peut plus se déplacer, il faudrait que quelqu'un l'amène chez elle et passe la journée avec elle.

Merci

Je soupirais et m’apprêtais à prendre la parole lorsque mon père plaçait son index devant sa bouche et me montrait la porte, je sortais du bureau désespéré et me rendais à l’hôpital. Désormais je regrettais même de m'être rendu au bureau de mon père et d'avoir fait cette demande débile. Une fois à l’hôpital je voyais une vieille mais alors la très vieille femme en fauteuil
roulant

Spoiler:

Je soupirais et l'emmenais avec moi une fois l'avoir salué, elle me racontait ses délires de grands mère durant tout le trajet et une fois chez elle, elle me traitait comme un vulgaire esclave, elle me demandait du thé, des gâteaux secs. Il lui arrivait même de me demander de nettoyer sa gouttière, je lui répondais tout le temps. "Oui bien sur mamie, bien sur".

Soudainement elle me frappait car son thé était trop chaud, il lui arrivait même de me lancer son thé bouillant au visage, je soulevais sa table et la renversais fou de rage, je voulais la tuer. Elle me regardait indifférente et n'eu qu'un réflexe, me demander de ramasser et de tout ranger. Par obligation envers l'ordre de la mission et mon père je m’exécutais, une fois tout ranger elle enlevait ses chaussures et ses chaussettes et me réclamait un massage des pieds, je l'ignorais alors elle me lançait un livre au visage. A ce moment ci, je devenais rouge, de la fumée sortait de mes oreilles et je transformais mon bras gauche en roche, je faisais un énorme trou dans son mur. Mais une nouvelle fois elle restait indifférente et m'ordonnait de ranger. Une fois que j'avais bien réfléchis je me disais que si je ne rangeais pas elle le dirait à mon père alors je rebâtissais le mur avec de la pierre.

Tout d'un coup, j'entendais l'horloge du village qui sonnait vingt heure, je m'empressais de m'enfuir alors que la grand mère m'hurlait après pour son massage des pieds, je courais comme je n'ai jamais courus. Je me devais de rentrer chez moi, une fois chez moi je me rendais compte que j'avais développé une nouvelle phobie, c'elle des petites vieilles.