Une bagarre

Comme à mon habitude, je me levais tôt afin de pouvoir commencer la journée en même temps qu'elle, je prenais un petit déjeuner et après une bonne préparation prenais la route du bureau de mon paternel d'un pas décidé, je souhaitais me rendre utile cela faisait un moment que je n'avais rien fais.

Une fois devant le bureau de mon père, je toquais et entrais comme à mon habitude, mon père était occupé à remplir des papiers, il levait la tête vers moi et souriait, ce geste fait il replongeait dansées papiers tout en disant.

-Bonjour Kitsuchi, comme tu peux le voir je suis plus qu'occupé par tout ces papiers, en plus comme vous participez tout les deux à un examen toi et Himeko les formulaires pleuvent d'ailleurs, tu dois signer ici.

Je signais et prenais du recul lorsqu'un marchand de journaux en tout genre du village Faisait son entrée dans le bureau de mon père. Il semblait exténué, il faut dire que son magasin se trouve tout au nord du village juste devant les portes et le bureau de mon père lui tout au sud, il aurait donc courut tout ce chemin en courant.

-Maitre Tsuchikage, c'est horrible, deux groupes de jeunes d'une vingtaine d'années se tapent dessus violemment. Pour une raison que j'ignore, j'ai essayais de les séparer mais tout ce que j'ai gagné c'est un coup de poing en plein visage.

Mon père n'eu même pas à me parler, un signe de la tête suffit à me faire me mettre en route, je prenais le marchand avec moi afin qu'il m'indique le lieu de la bagarre. Une fois sur place, je voyais une vingtaine de personne exténués continués à se battre malgré que presque tous étaient couvert de sang, ce spectacle m'affligeait je prenais la parole :

-Putain mais vous êtes tous plus con les uns que les autres ou quoi, regardez dans quels état vous êtes et vous continuez de vous foutre sur la gueule l'un sur l'autre, alors maintenant arrêtez sa ou je vous envois tous à l'hôpital.

Les jeunes gens continuaient de se battre j'entendais même des insultes à mon égard, on insultait ensuite ma mère, je ne pouvais le tolérer alors je faisais mes mudras.

-Doton : Le corps de Pierre

Je transformais mes deux poings en rochers, et cinq minutes plus tard les vingt jeunes gens étaient tous aux pays des rêves, du sang sur mes mains je transportais les vingt bagarreurs à l'hôpital, une fois le dernier dans son lit je me rendais dans le bureau de mon père pour y faire un rapport, je ressortais de son bureau dans lequel je m'étais fais passer un sacre savon.