Après une belle journée ensoleillée, je m'étendis complétement sur une pelouse verte comme le lait que je bois tous les matins (..
)
à demi assoupie des bruits de voix tonidruante chatouillèrent mes oreilles.. Me concentrant pour comprendre les paroles et non des bruits je les tendit et commença à comprendre le sujet De la conversation
Quoi ? ? ? ! Manger chez Ichiraku ? Mais tu es fou ma parole ! ! ! aucune hygiène ! cela fais deux semaines que je n'y suis pas aller et corps s'en porte très bien ! Oui mais tu sais aucun autre restaurant de la ville n'est ouvert... Tu prefère quoi ? Te remplir la pense et être malade comme un chien pendant 6 jours ou manger chez toi ? ! Oui c'est sur que vue comme cela .. bon on a qu'à aller manger chez moi alors ? Bonne idée. Les deux hommes repartirent dans la direction opposée, pour surement, aller manger ensemble chez l'un de .
Ne comprenant pas cette histoire, ( Vue que j'y mange une fois tous les deux jours ) je décida d'aller voir le teneur du restaurant pour comprendre cette histoire ( Et aussi me faire rembourser si la zone n'était pas propre
) Arrivé devant le magasin je vis un Ichiraku malheureux ( Je n'avais jamais fais attention à lui, se qui m'interessait plus c'était ses nouilles
)
Ne comprenant pas pourquoi il avait cette tête je lui demanda.
-Hey le vieux, pourquoi tu tire une tête pareille ? -Car je sens que mon restaurant vas bientôt fermer, je n'ai pratiquement plus aucun clients.. Et si je ferme je vais me retrouver à la rue.. Je crois que à ce moment la, je dû faire cette tête :
Heeeeeeeeeeee mais si tu ferme où je vais manger moi ? y'a pas un moyen que je t'aide ? En faîte je me fichais complétement de la personne mais son restaurant je pouvais pas l'abandonner ! ! ! !
Si, il faudrait distribuer des tractes pour dire que le problème d’hygiène que j'ai eu n'était pas de ma fautes, des plaisantins on mis quelque cafards dans mes plats et tous les clients à partir de ce moment la sont partit en courant, et maintenant plus personne ne veux venir dans mon restaurant.. Si je me rappelle bien j'avais déposé un ordre de mission chez le Hokage pour demander à une personne de distribuer des tractes, si tu veux m'aider prend l'ordre de mission, si tu réussi tu sera récompenser. Après avoir assuré au vieux que j'allais l'aider je partit chez le Hokage ... Toc-Toc-Toc ..; Qui est la ?
Enfin breff je pris l'ordre de mission après m'être pris un sacrée poing dans la tête pour avoir entrée sans y être invité et, l'ordre de mission dans la poche, je partis en ville pour distribuer des tractes que le vieux m'avait donné.
- VENEEEEEEEEEZ TOUS CHEZ ICHIRAKU SA SENS BON C'EST TOUS BOOOOON Pour toutes réponses des regards noire et tous le tralalala..
Vue que les tractes ne fonctionnait pas, quel autre méthode pourrais réussir ? Le bouche à oreilles !
-Monsieur.. oui toi la avec la tête de taupe.. sa te dis de venir manger chez Ichiraku ? Oui oui j'tinvite.. tu verra que le l’hygiène y est impeccable L'homme à la tête de taupe un peux méfiant me dévisagea mais céda à me suivre, un repas gratuit ? tous le monde en voudrait un même si c'est du poison
(Source non vérifié)
Donc j'accompagna l'homme qui n'avait pas l'air de connaître le restaurant et lui dit qu'il pouvait prendre se qu'il voulait (le vieux Ichiraku était sur le point de chialler de joie)
Après avoir pris de chaque plats et avoir fait des gémissements de plaisir après chaque bouché il m'assura qu'il allait parler de se restaurant à toutes les personnes autour de lui, Ichiraku était au ange, l'homme à la tête de taupe se tourna vers moi, (je l'avait invité donc c'était à moi de payer) Mais trop tard ...
Dès que le repas était terminé j'avais pris mes jambes à mon coups, j'étais venu pour aider Ichiraku pas pour payer un repas à ses clients
Quelque jours plus tard le bouche à oreille avait fonctionné, le restaurant se repeuplé. J'étais alors allé demandé au vieux de valider mon ordre de mission se qu'il fit suis le champ. Et retournant voir le Hokage, content de ma première mission je lui déposa l'ordre de mission sur son bureau (après m'être repris un coup de poing car j'avais pas frappé
) et partit, en espérant toucher la récompense promise.